Retour d'une première salve de vacances d'été, de 7 petits jours cette fois. Après ça, le rattrapage de la veille technologique est tout simplement impossible : plus de 1 000 articles attendent dans l'agrégeur de flux RSS, sans compter un wiki à mettre à jour. Heureusement, la boîte e-mail ne contient qu'une douzaine de messages (plus un millier de spams, mais qui s'en soucie encore), résultat peut-être d'une militance pour que les contacts bloguent et capitalisent davantage qu'ils ne pushent. Tiens, douze courriers non spams, c'est un volume analogue à ce qu'a reçu la boîte à lettres papier.
Reste la veille en mode pull, la veille par RSS : un millier impossible à lire in extenso, donc. D'autant que dans ce nombre, certains articles sont déjà périmés. Pensez, 7 jours.
J'écrème la veille de 90 %, et note qu'en une semaine j'ai eu l'occasion de lire plus de livres qu'en deux mois d'activité normale. C'est que, si la lecture de blogs est propice au zapping, on s'accommode davantage pour lire un livre de vraies plages, qu'elles soient plages de temps ou plages de sable fin, que de quarts d'heure parfois volés, parfois trop tard dans la journée, et souvent sous stress.
Vive le temps non contraint, non au zapping. Pour autant, la veille voire l'activité y gagnent-t-elles ? Faut-il préciser que j'ai eu connaissance de ces livres par le biais quasi exclusif des blogs que je lis, et que dénicher des pépites demande plus qu'un survol ? demande une attention et une assiduité de chercheur d'or, en plus d'un outillage sophistiqué (lecteur RSS, connexion haut débit, écran correct, ordinateur potable).
Je ne conclus pas, car les vacances continuent :-)
Bonnes vacances à... ceux qui en prennent.
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