21 juillet 2007

AssoPass

«AssoPass : Créez le site de votre association en toute simplicité.»

Quelques services d'ores et déjà disponibles :
  • site internet
  • forum
  • annuaire
  • album photos
  • calendrier
  • petites annonces
  • cotisations par internet
  • vente de produits
Formule de base : 9 EUR/mois.

Le site revendique 622 associations clientes.

On est dans le très-basique, on est dans le très-classique, j'ai même l'impression qu'on est dans du fonctionnel arborescent très « 1.0 » : pas de fonction de recherche systématique, pas de blogging... mais si la critique est facile, le gros intérêt est qu'on est avec AssoPass dans quelque chose qui existe :-)

Lire le commentaire qu'en faisait fin juin Laurent Samuel sur son blog « créer et animer une association loi 1901 ».

Je suis entièrement d'accord sur le caractère insupportable de la speakerine ;-)

20 juillet 2007

Parakey sera open source

Facebook, qui fait émerger les plates-formes applicatives sur internet, à grands coups de web collaboratif et de propagation virale, acquiert Parakey, une start-up qui développe un système d'exploitation réparti/partagé accessible via le web.

Voir l'info sur Techcrunch/fr.

Techcrunch donne en outre l'info suivante : Parakey sera en mode open source.

Voilà, voilà...

Soyons clairs : il reste la fédération d'identité, avec par exemple un Open ID musclé, plus la répartition du système métier par peer-to-peer, à la NNTP par exemple, puis le système sera génial.

Il ne s'appellera sans doute plus Facebook Platform, ni Parakey, et il n'aura certainement pas le même business model que ces deux entreprises.

Quand ce système arrivera, il aura fallu beaucoup d'apports open source, beaucoup de fonds privés, beaucoup de communautés actives, beaucoup de créations (et donc de morts) d'entreprises. Et les États ? Ben...

Certes l'histoire n'est pas terminée, mais on ne les voit pas beaucoup dans le générique pour l'instant. Alors qu'un tel système sera pour le moins d'utilité publique.

16 juillet 2007

Des jours sans internet

Retour d'une première salve de vacances d'été, de 7 petits jours cette fois. Après ça, le rattrapage de la veille technologique est tout simplement impossible : plus de 1 000 articles attendent dans l'agrégeur de flux RSS, sans compter un wiki à mettre à jour. Heureusement, la boîte e-mail ne contient qu'une douzaine de messages (plus un millier de spams, mais qui s'en soucie encore), résultat peut-être d'une militance pour que les contacts bloguent et capitalisent davantage qu'ils ne pushent. Tiens, douze courriers non spams, c'est un volume analogue à ce qu'a reçu la boîte à lettres papier.

Reste la veille en mode pull, la veille par RSS : un millier impossible à lire in extenso, donc. D'autant que dans ce nombre, certains articles sont déjà périmés. Pensez, 7 jours.

J'écrème la veille de 90 %, et note qu'en une semaine j'ai eu l'occasion de lire plus de livres qu'en deux mois d'activité normale. C'est que, si la lecture de blogs est propice au zapping, on s'accommode davantage pour lire un livre de vraies plages, qu'elles soient plages de temps ou plages de sable fin, que de quarts d'heure parfois volés, parfois trop tard dans la journée, et souvent sous stress.

Vive le temps non contraint, non au zapping. Pour autant, la veille voire l'activité y gagnent-t-elles ? Faut-il préciser que j'ai eu connaissance de ces livres par le biais quasi exclusif des blogs que je lis, et que dénicher des pépites demande plus qu'un survol ? demande une attention et une assiduité de chercheur d'or, en plus d'un outillage sophistiqué (lecteur RSS, connexion haut débit, écran correct, ordinateur potable).

Je ne conclus pas, car les vacances continuent :-)

Bonnes vacances à... ceux qui en prennent.