On dirait bien qu'il faut que les fichiers sources de génération, les méta-données, les diagrammes, les annotations... soient exprimés bêtement dans un langage fonctionnel. Langage fonctionnel, dont les documents « déclaratifs » XML, YAML, UML... sont des exemples primaires.
La frontière étant que le langage de programmation du code rajouté ne doit pas se mélanger aux « informations » (pour le coup, on est bien dans de l'information !) des méta-données. Tant que toute cette partie formelle est équivalente à une expression prouvable, on peut profiter de notre arsenal de preuve.
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